duo Popa/Llumierlive
Duo Popa Llumierelive
De l'autre côté du miroir, dans une dimension parallèle
L'aube aux airs idylliques s'éveille dans toute sa splendeur
Des branches feuillues filtrent la lumière d'un soleil rieur
Tout devient si clair, jusqu'à la racine de nos soucis existentiels
Le triste reflet de mes pensées miroite et se ploie en incertitude
En l’ombre brumeuse voilant la transparence de ma ferveur
Dans ce ciel tourmenté je ne réclame aucune faveur
Sinon celle de m’ôter ces insipides et fades lassitudes
Arrachons ces mauvaises herbes et revenons aux choses vraies
Enlevons nos masques factices et déclarons nous au grand jour
Effaçons ces airs supérieurs et faux, transformons les en amour
Reprenons contact dans une sphère naturelle en un souffle frais
La vétusté perfide et nauséeuse de ma mémoire
Me porte tel un fétu de paille vers le néant
Je frissonne fébrilement devant ce gouffre béant
N’osant chercher consolation en quelque grimoire
Les prophètes n'ont pas d'humour, mais les miroirs en ont
Je ne demande rien d'autre qu'une trace de mon passage
La mémoire d'une silhouette ridée aux stigmates de la rage
J'envisage un flou artistique en vrac, abstrait et abscons
Grimaces et pirouettes face à face à cette image
Mon visage déformé se contorsionne de long en large
Je m’en dévie et préfère me mettre en marge
De sa jeunesse il faut savoir tourner les pages
Duo Popa Llumierelive
De l'autre côté du miroir, dans une dimension parallèle
L'aube aux airs idylliques s'éveille dans toute sa splendeur
Des branches feuillues filtrent la lumière d'un soleil rieur
Tout devient si clair, jusqu'à la racine de nos soucis existentiels
Le triste reflet de mes pensées miroite et se ploie en incertitude
En l’ombre brumeuse voilant la transparence de ma ferveur
Dans ce ciel tourmenté je ne réclame aucune faveur
Sinon celle de m’ôter ces insipides et fades lassitudes
Arrachons ces mauvaises herbes et revenons aux choses vraies
Enlevons nos masques factices et déclarons nous au grand jour
Effaçons ces airs supérieurs et faux, transformons les en amour
Reprenons contact dans une sphère naturelle en un souffle frais
La vétusté perfide et nauséeuse de ma mémoire
Me porte tel un fétu de paille vers le néant
Je frissonne fébrilement devant ce gouffre béant
N’osant chercher consolation en quelque grimoire
Les prophètes n'ont pas d'humour, mais les miroirs en ont
Je ne demande rien d'autre qu'une trace de mon passage
La mémoire d'une silhouette ridée aux stigmates de la rage
J'envisage un flou artistique en vrac, abstrait et abscons
Grimaces et pirouettes face à face à cette image
Mon visage déformé se contorsionne de long en large
Je m’en dévie et préfère me mettre en marge
De sa jeunesse il faut savoir tourner les pages